Il faut savoir reconnaitre ses erreurs et faire son autocritique. Hier, ou avant-hier, enfin dans mon dernier post, j’avais trouvé des choses drôles, je me gaussais, je gloussais, en trois mots, j’étais arrogant. Arrogant, oui, car je pensais méprisant que voila, l’imaginaire sera toujours plus puissant que le réel, que jamais aucun fabricant n’arrivera au potentiel poétique de ces faisceaux courbes, entrelacés, etc. Et deux jours après patatra ! Ce que le web m’avait donné, le web me le reprit. Les preuves s’accumulaient de la capacité du réel à ridiculiser l’imaginaire. Je ne sais plus quoi faire à part vous livrer les pièces a convictions, avant d’aller me faire harakiri, ou plutôt me fouetter, enfin mettre une chemise de serge, non, j’ai trouvé, je vais me priver de dessert. Me voila bien punie maintenant !
Petit rappel des épisodes précédents : sur le net, des illustrateurs livrent des dessins qui font des choses pas possibles avec la lumière
Pendant que ces gribouilles trouvent malin de faire les malins, Tembolat Gugkaev inventait Omlamp, comme son nom l’indique, le mélange d’une lampe et d’une omelette
Il y a tout de suite du monde au balcon avec Perrine Lievens. Née à Aix-en-Provence, elle vit à Paris. Comme quoi…
Autre problème soulevé par les illustrateurs, une sorte de ramollissement de la lumière, un truc à la Dali, Salvador. ça existe en vrai aussi
Et ça continua encore et encore : ce fut alors au tours de Stéphane Vignyde m’humilier
C’est ensuite au tour de Yukihiro Taguchide jouer avec le flux du néon – enfin du tube fluo.
Dégouté, écœuré, je sais ce qui me reste à faire grâce à Zweintopf
D’ou viennent toutes ces images : principalement de FloresEnElAttico, qui doit m’en vouloir personnelement parole pour sortir toutes ces infos. Cliquez sur les images pour en avoir le coeur net.
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