Bizarre période que celle qui nous voit en cette fin d’année transiter d’un réveillon à l’autre. Cinq jours de vacances trop courtes ou d’ennui trop long, au choix. Nous allons profiter de cet Hinterfest, alors que tous les gens sont occupés ailleurs, pour explorer la face étrange de la lumière. Ame sensible s’abstenir, et merci aux Portes de nous avoir prêter le titre du premier billet et de la série. Les gens sont étranges lorsqu’on est étranger, les visages paraissent laids quand vous êtes seuls… Enfin je dis ça sans avoir l’intention de vous donner le cafard, c’est juste histoire de déclamer des poésies modernes écrites sous les rayons du soleil noir de la mélancolie.
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