Elle monte, elle descend, la lampe de la semaine, au rythme de la lumière, comme aurait pu dire DeBarge. Composé de 5 anneaux concentriques reliés par des fils de couleur, le luminaire prend des formes variés au fil du temps, c’est le cas de le dire… Le plus : l’ampleur de l’objet, la présence des volumes (la configuration déployé est assez impressionnante dans son évidence). Le moins : le traitement de la lumière. Entre « Het ritme van licht » (son titre original sur le site de Susanne de Graef) et une ampoule nue, c’est juste une différence d’encombrement et de relations publiques, diront les esprits chagrins.
Via DesignBoom
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