La lumière artificielle à toujours eut le don de modifier les paysages et l’architecture. Dans les années 20-30, les architectes ont pu jouer sur les inversions positifs-négatifs se produisant entre la vision diurne et nocturne des bâtiments. Ce sont les possibilités techniques qui donnent le la. L’éclairage électrique, qui pouvait être allumé et éteint à volonté, avait représenté un progrès sur le gaz. Il avait permis l’apparition des journaux lumineux à Time Square ou Picadilly Circus.
Aujourd’hui, avec le mapping – projection sur des surfaces 3D – on fait un pas encore plus grand dans la métamorphose nocturne de l’architecture. Les stratégies de trompe-l’œil, la manipulations ludiques permise par ces techniques sont vraiment impressionnante, même sur des surfaces mattes. En guise d’exemple, cette intervention du studio Seeper et Flat-e à « Branchage », le festival international du film de Jersey.
Source : Plataforma
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