Tendance#4 : la Tronification (2/2)


Suite de notre feuilleton sur Tron. Rappel des épisodes précédents : les lignes lumineuses des décors et costumes du film de Steven Lisberger affolèrent les esprits au point de rendre une suite nécessaire, et pour plonger dans cet univers, des centaines d’individus firent de leur mieux pour en reproduire les caractéristiques physiques.
Les vêtements étaient une partie du jeu. Mais on se souvient que Tron, c’était aussi des véhicules et des objets.

Commençons par les véhicules : d’abord la moto de TRON, elle existe, oui, au moins sous forme de maquette promotionnelle. Quand j’étais petit, je me souviens avoir vu la soucoupe volante de la soupe-aux-choux. Le concept est similaire…

On reste dans le littéral. Ne pourrait-on pas s’éloigner du modèle originel? Alon Karpman du Brooklyn workshop a imaginé un tron-skate.

Moins poétique, la voiture. Audi à lancé une E-Tron (les francophones apprécieront), mais cette scatomobile n’a rien à voir avec le film qui nous préoccupe. Peter Vardai à lancé un prototype plus proche de ce que serait une vraie TronMobile

Assez de vroom-vroom, passons maintenant aux objets. Loris Botello, italien de son état, à créé une tron lampe en polymères. En tournant le disque, on change l’intensité lumineuse


On parle de Tron et j’en convient, c’est à la fois un peu obsesionnel et finalement un peu vain. Au fait quelle heure est-il ? Je réponds à ma question en regardant ma monTron, dessinée par Abhinav Dapke.

EN dépit de toutes les réserves dont je viens de vous faire part, j’aurais continué ces pérégrinations dans la tronmania au nom de la culture populaire. Une rencontre m’a fait renoncer : au coin du clic, la vision dénudé d’un tron classée X, des femmes nues entronées si j’ose dire, comme si il n’y avait plus rien de sacré. Je décidais d’arrêter sur le champ ce billet : ce n’est vraiment pas comme celà que j’imagine la femme-tron! C’est le magazine plait-bois qui s’est livré à ce sacrilège, je ne regardais pas, je suis tombé dessus par hasard

Tout cela c’est bien triste, et ça donne envie de partir, et chercher sur la terre, un endroit écarté, où d’être homme d’honneur, on ait la liberté, comme disait l’autre. Partant vers le Nord pour fuir ces troneries, je m’arrêtais dans un refuge ou la médiatronisation me rattrapa…

Juste retour des choses, j’abdiquais et trouvais finalement le bonheur dans ce tron-univers échappé des ordinateurs pour envahir le monde réel.

via : divers, cliquez sur les images pour arriver sur le site source.

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